Plus de 50 organisations signataires de la Charte pour l’inclusion des personnes réfugiées et exilées en entreprise – créée par SINGA et UTOPIES en juin dernier – se sont réunies au Palais de Tokyo pour se rencontrer, débattre, partager des bonnes pratiques et préparer la suite…
La soirée a été marquée par des témoignages inspirants, à l’occasion notamment d’une table ronde animée par Guillaume Capelle, co-fondateur de SINGA. 30 minutes d’échanges inédits autour de l’inclusion économique des personnes réfugiées et exilées, par l’entrepreneuriat et dans l’entreprise. Avec :
« Merci à tous les six. C’était riche ! Il y a autant d’entreprises que d’approches de l’inclusion, à vous de trouver la vôtre, trouver l’histoire qui mobilisera vos collaborateurs, qui entraînera le changement… Vous pouvez recruter, former, réaliser des partenariats avec des acteurs publics, des associations, des startups ou d’autres entreprises. Mais vous pouvez aussi préparer la transition de vos métiers, à l’heure de la transition environnementale, en imaginant des nouvelles chaînes d’hôtellerie pour les millions de migrants à long terme, des collections de vêtements ou des produits cosmétiques interculturels, des stores qui ouvrent les yeux et des assurances nouvelle génération… » conclut Guillaume Capelle.
Après la publication commune d’une note de position en 2021 « Talents sans frontières : comment les personnes réfugiées ou immigrées contribuent à l’innovation, à la croissance et à la résilience des entreprises ? », UTOPIES et SINGA ont fait évoluer leur engagement dans une optique de passage à l’action, en créant en juin dernier une charte en faveur de l’inclusion professionnelle des nouveaux arrivants.
À date plus de 50 grands groupes, TPE, PME et startups se sont engagés :